Journaliste et écrivain, il a publié plusieurs romans, un essai (Contre la télé, Verdier) et, sous le titre Quotidienne, les chroniques qu’il a données au journal Libération dans les années 2000 (trois tomes, Léo Scheer, puis Fayard).
Une lettre de son drôle d’ami, en villégiature à Paris, suscite ce questionnement et constitue la clef politique du roman : le signataire ne sait pas l’exprimer et son destinataire ne sait pas la décrypter ; quant à l’auteur (du roman), il balance entre deux représentations, crypto-terroriste ou vaguement mystique, d’un anarchisme finalement réductible à un humanisme désespéré.
_Préface, Sébastien Roch