Michaël Iancu est né en 1973 à Gardanne, en Provence, d’une mère originaire de Djelfa. Docteur en histoire, il est directeur de l’Institut Universitaire Maïmonide-Averroès-Thomas d’Aquin et délégué régional du Comité français pour Yad Vashem. Maître de conférences à l’Université de Cluj (Roumanie) de 2006 à 2012, chercheur associé au CRISES de Montpellier 3, il est l’auteur de Spoliations, Déportations, Résistance des Juifs à Montpellier et dans l’Hérault (1940-1944) (éd. A. Barthélémy, 2000), Vichy et les Juifs, l’exemple de l’Hérault (1940-1944) (Études juives et hébraïques n°14, Presses universitaires de la Méditerranée, 2007, réédité en 2018) et Les Juifs de Montpellier et des terres d’Oc. Figures médiévales, modernes et contemporaines (Cerf, 2014). En décembre 2019, il s’est vu décerner le Prix Georges-Frêche (Université Sud de France).
J’ai de nombreux souvenirs, entre autres des grandes tablées festives orchestrées par ma grand-mère, native de Médéa.
_ L’Algérie en héritage