Michel Vassat, par Agathe Fallet : « J’aime fraternellement Michel. D’abord pour ce qu’il est, ce photographe tendre et pudique. J’ai jadis reçu de lui, et collé sur mon mur, l’image embuée d’un inoubliable jeune homme sous sa douche. Je l’aime aussi pour ce que nous savourons ensemble : le jazz, les cakes Marks & Spencer , les « confitures de Luc », le ronron des chats et – private joke, comme on dit outre-Manche – le chant méconnu de l’aspirateur du petit matin. »
[…] Le Bourbonnais est inconnu. La raison en est simple, à mon sens : on ne le connaît pas, on ne veut pas le connaître parce qu’il n’est pas spectaculaire.
_Le Braconnier de Dieu