Refik Durbaş (1944), né à Erzurum (nord-est de l’Anatolie), fait ses études à Izmir, puis à la Faculté des lettres d’Istanbul, avant de travailler, jusqu’à sa retraite en 1992, pour le quotidien Cumhuriyet, dont il reste l’un des chroniqueurs.
Que se flétrisse la rose de la mort domestique
Que soit tranchée l’artère de l’espace
D’une vie à mille morts avec tristesse
Si tu es le frère de la tempête
_J’ai vu la mer