Zineb Labidi, écolière à la Meskiana, où elle est née en 1946, puis lycéenne à Constantine, est professeur émérite à l’Université Paris 8. Elle réside en France et en Algérie. Parmi ses publications : Passages. Écritures francophones, théories postcoloniales, avec F. Simasotchi-Bronès et M. Mégevand, Littérature, n°154, juin 2009 ; « Fadhma N’Soumeur. Son geste, sa voix, son corps », A. Bouchène, J.-P. Peyroulou, O. Siari-Tengour, S. Thénault (dir.), Histoire de l’Algérie à la période coloniale, 1830-1962, La Découverte (Paris), Barzakh (Alger), 2012, pp. 137-141.
J’ai appris l’histoire des Gaulois, comme une fiction, celle de l’Émir Abdelkader, comme une épopée, et celle de Louis XIV avec beaucoup d’étonnement. Le Roi Soleil qui ne se lavait jamais ? Il était entouré de sa cour quand il faisait ses besoins, assis sur sa chaise percée comme sur un trône ?
_À l’école en Algérie des années 1930 à l’Indépendance