Le journalisme tel que je le rêve, débridé sinon libéré, est davantage affaire de style que de grammaire. La règle est trop pesante pour qu’on n’y ajoute pas l’initiative : « Voyez, je préférerais ne pas le faire exactement comme vous me le demandez… » Quitte à tomber dans la maladresse : un style se définit aussi par ses fautes. Et le trivial a bien le droit de voisiner avec le grandiose.
Genre Journalisme