Les carnets d'un francophone

La francophonie est une manière d’être au monde, imprégnée du désir d’échapper à la solitude des nations, à la domination des unes, à la soumission des autres. Plus qu’un rêve, une utopie.

Lire Claudie Beaujeu dans le n°231 de Défense de la langue française :
« Alors qu’on s’oriente « vers une nouvelle francophonie en Europe » fondée non seulement sur le partage de la langue mais surtout sur celui des idées, de la culture, des idées en général, il faut lire les « carnets » de Jean-Marie Borzeix. […] Ce petit livre est de grande qualité : il est riche de sens, pose les questions objectivement, sans parti pris ; il est utile. Il est en outre bien écrit, joliment édité, d’un format pratique et, par surcroît, de coût modeste. Lisez-le, offrez-le, vous ne le regretterez pas. »

Lire la recension de Daniel Conrod dans le n°2949 de Télérama :
« Au fil de courts chapitres s’enchaînant comme les bribes d’une conversation imaginaire, l’auteur propose une vision réaliste et confiante de la francophonie. Un petit livre honnête et loyal et un bel objet d’édition tel que les “petits éditeurs” aiment à les rêver avant de les fabriquer. »

Lire Christine Rousseau dans Le Monde :
« Un essai qui se veut surtout une adresse aux Français pour qu’enfin ceux-ci ne s’estiment plus seulement français, mais aussi francophones. »

Lire la recension « Rendez-vous » de François Taillandier dans L’Humanité :
« Jean-Marie Borzeix évoque le sujet avec une rare liberté d’esprit. »

Lire l’article « Vif plaidoyer pour la francophonie » de Daniel Martin dans La Montagne Centre France, le 2 juillet 2006 :
« Des pages pleines de rage et d’espoir. »

Lire Le français à l’université, troisième trimestre 2006 :
« L’exposition d’étonnements sur la réception du francophone dans le monde, entre douleurs, espoirs et doutes. Billets d’humeur, davantage que chronique suivie, en 113 notes, l’ensemble réuni par J-M. Borzeix appelle les Français et la France à mieux se considérer francophones dans un espace complexe qu’ils semblent si bien, si mal comprendre. »

Lire la recension de Didier Jacob dans Le Nouvel Observateur